Hellboy 2

Alors là, j'y suis allez réticent vu que je n'avait pas aimé le premier, mais celui là est vraiment bien.
Les personnages sont déjà plus développer. L'histoire d'amour entre Liz (qui contrairement aux premier à un vrai rôle dns celui-là) et Red est vraiment bien trouvé, on ne tombe pas dans le pathos mais quand même on comprend bien ce que les perso ressentent. Le mieux développer selon moi est la partie la plus "classique"; le rejet par la société. J'ai trouvé que cette quête d'être connu et vu par tous de Hellboy est vraiment intelligente par apport au premier puisqu'il intègre sans complexe un vrai monde fantastique en parallèle.
Preso développé, univers magnifique mais seul point faible le scénario. Le passage d'un acte à un autre est vraiment trop brusque et on sent que Del Toro a voulu trop montré pour au final une duré trop courte. On ne passe pas assez de temps selon moi dans les différent lieu qu'il nous fait visiter et la transition est trop brusque, sans réel explication.

Mais pour résumé je vous le conseil vraiment si vous êtes fan de l'univers féerique de Del Toro du Labyrinthe de Pan vous ne serez pas déçu.

Attention chef d'oeuvre pour moi.
Autant dans le premier tout sentait bon la Guixerie petit budget a la Rodriguez tout filmé a prague dans les egouts et un vieux musée la c est grand c'est beau, drôle, violent et l'univers de Mignola et Del Toro cohabitent parfaitement.
seul bemol un passage Men In Black au BPRD mais sinon je dis OUAIIIIIIS.

Pareil :
Du changeling en film....
LEs unseelies dévoilées au cinéma, ou du moins ce qui s'en rapproche le mieux !
J'ai kiffé ------- point barre--------
Incontournable de l'urban fantasy !!
Du Neil Gaiman en puissance !
Que dire de plus, je suis encore sous la reverie...
Plus qu'a attendre l'édition collector DVD !!!!
Les "mondes visités", les "endroits" proposés sont pas assez developpé, ou du moins visité c'est certain, d'accord avec Logan, on bave et on en veut plus......
Personnellement il surclasse le premier Opus, et ce n'est pas rien de réussir un tel exploit !!

C'était superbe comme film c'est certain avec des créatures "féeriques" toutes superbement réalisées et un univers maitrisé qui mélange fantasy-humour et une fine touche de poésie (le passage avec l'élémentaire est splendide). On voit qu'il a réutilisé pas mal d'idées qu'il a pu avoir pour le film a l'inspiration très "changeling" qu'il devait réalisé et s'en est servi pour ce Hellboy !

Citation :

Surchargé, il se voit contraint de céder sa place de réalisateur à l'irlandais Neil Jordan : Entretien avec un vampire (1994), Michael Collins (1996), À vif (2007) et dernièrement Meurtre au Carnaval des Voyous (Killing on Carnival Row) avec la New Line, un script de Travis Beacham que tout Hollywood s'arrache : dans la ville fictive à l'ambiance victorienne de Burgue, les créatures fantastiques comme les vampires, les elfes ou les fées côtoient les humains. Ces habitants mythologiques, fascinés par les humains, doivent tomber dans leurs travers pour survivre, avec des vampires dealers ou des fées prostituées. Bientôt, un serial killer se met à tuer les fées, et un détective humain engagé dans une relation taboue avec une fée courtisane va devoir mener l'enquête à terme, alors qu'il est lui-même suspecté. Depuis que le projet est entre les mains de Neil Jordan, il n'a toujours pas avancé. Certains parlent d'une collaboration entre les deux réalisateurs sur le film dès que Guillermo del Toro sera libre.

Vivement la suite et tout ses autres projets qui la aussi sont super alléchants entre Bilbo, Hellboy 3 : la fin des temps, Les montagnes hallucinées, docteur strange et j'en passe !

J'en pleure de joie

del torro est pour moi le réalisateur du moment. je le range aux côté de kevin smith, tarentino, rodriguez, raimi..... tous dans un style différend certes. mais quand c'est fait avec passion et respect (et si en plus il y a de la thune), ça ne peut être que bon.

juste un constat : il ne passe pas à pont-à-mousson et c'est démonstratif d'un phénomène bien connu. c'est intelligent, pour un public averti, ultra référencé et par conséquent pour un public amateur de tout une culture, donc, on ne le distribue pas....

Il reste internet faignasse !

Ce qui est marrant c'est les débats que j'ai en cours (surtout dans les cours d'actualité du cinéma) où les profs pour la plupart lorsqu'on parle de ce genre de film ne connaissent absolument rien de l'univers. Par exemple : pour Batman j'ai dit que j'avais adoré comment Nolan avait transformé l'histoire de Double Face pour l'adapter à son film tout en gardant sa psychologie originale. Le prof n'a trouvé à me répondre: "enfin je ne trouve pas que sa psychologie ressemble à celle du personage de Tommy Lee Jones"

Donc lorsque le débat sur Hellboy est venu (y'en a toutes les semaines sur les sorties du moments voilà la seul raison pour laquelle ils parlent de ses films je pense) enfin bref le prof n'était même pas u courant que c'était un comics au départ. C'est dire l'inconnue de cette culture.
Malgré le succés du Dark Knight le comics reste quand même dénigrer et donc on passe à côté même de l'essence de ces films je trouve.
Le débat sur Hellboy était de savoir si le réalisateur avait réellement quelque chose à dire ou si le film n'était qu'une monstration de ces talents pour les effets spéciaux.

ça me rappelle le DUT et les pauvres débats : la littérarture de l'imaginaire, c'est pas de la littérature !

et puis un film est-il obligé de véhiculer un message ?

de quoi rappeler les cours de philo et une de ses disciplines : l'art.

bon vous avez 4h et je ramasse les copies

je l'ai vu et ce fut une ENORME baffe dans ma petite tronche de chérubin.

Del Torro a vu gros ! les effets spéciaux sont à tombés avec mention spécial pour le market et le géant, façon shadow of the collosus, de la fin.
le méchant est très classe aussi et certaines touches d'humour sont excellentes.
la fin est bâclée cependant, à voir en version longue donc...

un film sous influence assuremment (merci Geimman pour 70% des idées....)

chef d'oeuvre absolu et achat obligé du DVD en collector (Del Toro n'est pas avar en bonus en général)