haaaaaaaa bravo les comédiens ! le géant vert n'est pas content, mais alors pas content du tout !
après avoir été exilé à travers les mondes, pour son bien soi-disant, par ses "amis", hulk se retrouve sur Saakar, une palnète dirigée par le red king, véritable tyrant sanguinaire.
notre héros se retrouve à l'état d'esclave, devant sauver sa peau dans l'arène.
c'est l'histoire ultraclassique du gladiateur qui gagne sa liberté pour renverser le pouvoir, pour finalement tout perdre à nouveau. c'est le concept de l'éternel recommencement.
autre point classique : ses compagnons d'infortune, avec qui il va former une véritable compagnie.... "fellowship of the hulk" !
mais puatin quel pied !
ça a beau être du réchauffé niveau scénar, ces histoires d'héroïsme tragique me font toujours autant triper !
ça tranche, ça saigne, ça meurt, ça réssucite pour finalement disparaître.
et puis hulk en gladiateur ça le fait grave quand même ! surtout devant une foule chauffée à blanc qui scande "green scar ! green scar !"
et même si on échappe pas au cliché "I'll follow you my friend... my brother.... my king", hé bien moi j'en frissonne de plaisir.
au four toutes les considérations intellectuelles, ce comics poutre grave et c'est bien là le plus important !